Nez-de-Cuir
- Type de support matériel
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Livre
- Résumé
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Nez-de-Cuir (Roger de La Tainchebraye) règne sur une cour innombrable en Normandie. Et l'on ne connaît guère de femme qui ait longtemps résisté à son charme. Sa prestance, son regard de feu, son audace resplendissent sur un fond de triste légende : il porte un masque de cuir pour cacher l'horrible blessure reçue pendant les guerres de l'Empire et il séduit pour se rassurer. Electre 2019
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- Public :
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Jeunesse
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- Langue :
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français
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- Dimensions :
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34 x 24 cm
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- Importance matérielle :
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1 vol. (58 p.)
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- Importance matérielle :
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illustrations en couleur
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- ISBN :
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978-2-7548-2533-7
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- EAN :
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9782754825337
- Informations sur l'édition :
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9782754825337
Qu'ils brossent le portrait de Louis-Ferdinand Céline,
Qu'ils adaptent fidèlement le roman de Jean de La Varende ou librement l'oeuvre de Jean Giono,
Jean Dufaux et Jacques Terpant rendent un hommage en bande dessinée à ces trois écrivains qui les ont inspirés.
Trois romanciers français qui ont marqué, à leur manière, la littérature du XXe siècle.
« Giono, Céline, La Varende indispensables... comme Rabelais, Montaigne, Hugo, Stendhal, Proust, Balzac, Bernanos et tant d'autres... pour ne citer que des auteurs français. Adapter un grand écrivain, c'est d'abord entendre une voix au travers des mots, du rythme, des silences. Toute bonne histoire possède ses variantes, ses déclinaisons, ses angles, ses non-dits.
On peut reconnaître la valeur d'un livre à ce que sa lecture ne s'arrête pas au point final. Il y a passation, échange, prolongement entre l'auteur et son lecteur. Le livre ne se referme pas, il reste ouvert sur tel ou tel passage en fonction du temps qui passe.
Tout au long de cette belle aventure que fut la relecture de certains ouvrages dits classiques (je ne connais rien de plus moderne que les classiques) et qui vit ainsi se succéder Céline, La Varende et Giono, (toujours choisir le désordre dans ses choix, se méfier des catalogues « raisonnés »), nous eûmes, Jacques Terpant et moi, la chance de partager notre passion pour la littérature. »
Jean Dufaux