[Les ]buveurs de lumière
- Auteur
- Type de support matériel
-
Livre
- Résumé
-
En 2020, le monde s'apprête à entrer dans l'âge de glace. Dylan, un géant amoureux de cinéma, débarque dans une petite communauté du nord de l'Ecosse. Il y rencontre Constance, une bricoleuse de génie, et sa fille, Stella, anciennement garçon. C'est là, à Clachan Fells, que Dylan et Constance tentent de s'aimer, dans une lumière de miracle. Prix Transfuge du meilleur roman anglophone 2017. Electre 2017
-
- Langue originale :
-
english
-
- Traducteur :
-
- Public :
-
Grand public
-
- Langue :
-
français
-
- Dimensions :
-
22 cm
-
- Importance matérielle :
-
302 p.
-
- ISBN :
-
979-10-226-0687-5
-
- EAN :
-
9791022606875
-
- Dans la collection :
-
Bibliothèque écossaise, Noir
- Informations sur l'édition :
-
9791022606875
-
- A pour sujet
Les buveurs de lumière
2020. Le monde entre dans l'âge de glace, il neige à Jérusalem et les icebergs dérivent le long des côtes. Pour les jours sombres qui s'annoncent, il faut faire provision de lumière - neige au soleil, stalactites éclatantes, aurores boréales.
Dylan, géant barbu et tatoué, débarque au beau milieu de la nuit dans la petite communauté de Clachan Fells, au nord de l'Écosse. Il a vécu toute sa vie dans un cinéma d'art et essai à Soho, il recommence tout à zéro. Dans ce petit parc de caravanes, il rencontre Constance, une bricoleuse de génie au manteau de loup dont il tombe amoureux, et sa fille Stella, ex-petit garçon, en pleine tempête hormonale, qui devient son amie. Autour d'eux gravitent quelques marginaux, un taxidermiste réac, un couple de satanistes, une star du porno.
Les températures plongent, les journaux télévisés annoncent des catastrophes terribles, mais dans les caravanes au pied des montagnes, on résiste : on construit des poêles, on boit du gin artisanal, on démêle une histoire de famille, on tente de s'aimer dans une lumière de miracle.
Dans ce roman éblouissant au lyrisme radical, peuplé de personnages étranges et beaux, Jenni Fagan distille une tendresse absolue qui donne envie de hâter la fin du monde.