Ils l'appelaient Cristiano. Ils croyaient qu'un jour il deviendrait un grand joueur de football. Les entraîneurs, les agents, les journalistes sportifs étaient tous d'accord. Il les a niés. Au lieu du Bernabeu et du Maracanäa, il s'est lancé dans les circuits de la nuit. Et une nuit, devant un appartement pauvre à Kypseli, il se retrouva à nager dans son propre sang. La prémisse semblait simple, presque évidente. Mais Olga Petropoulou, du service des crimes de la vie, n'a pas cru à l'évidence.